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Les dirigeables et les zeppelins sont une source d'inspiration pour la musique, la cinématographie et la littérature, depuis leur apparition lors de la deuxième moitié du XIXe siècle. On les retrouve dans des documentaires historiques, du fait de leur passé militaire, lors de la première guerre mondiale. Ils sont aussi présents dans la propagande des années 1930, avec le zeppelin Hindenburg, dont le destin tragique marque fortement les esprits du XXe siècle (à l'instar du Titanic) et inspire des œuvres dramatiques, comme L'Odyssée du Hindenburg ou Condamné au silence. Les dirigeables sont aussi présents dans des réalisations fantastiques ou de science-fiction. Les « paquebots des airs » (airship en anglais et luftschiffe en allemand) peuvent ainsi être représentés dans des histoires alternatives ou des univers parallèles avec des scénarios fictifs, uchroniques ou de dieselpunk. Les zeppelins sont ainsi fréquemment associés à des univers rétro-futuristes, où se mêlent des temporalités déviantes, divergentes, ou parallèles[1].

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Maquette utilisée en 1975 pour le film L'Odyssée du Hindenburg visible aujourd'hui au National Air and Space Museum.
Maquette utilisée en 1975 pour le film L'Odyssée du Hindenburg visible aujourd'hui au National Air and Space Museum.

Ils peuvent également apparaître comme une machine à fantasmes, au service d'une utopie ou au contraire d'un univers apocalyptique ou cauchemardesque. Souvent reliés au voyage, à l'odyssée et à la démesure, ils sont aussi un trait d'union temporel, entre la nostalgie d'un passé révolu et l'utopie d'un futur en devenir.


Culture populaire


En 1934, le Calypsonien Attila the Hun, alias Raymond Quevedo, enregistre « Graf Zeppelin », en commémoration de l'escale du Graf Zeppelin à l'île de la Trinité lors de son tour du monde[2]. En 1968, le groupe de rock anglais Led Zeppelin choisit son nom après que Keith Moon, le batteur de The Who, fit part au guitariste Jimmy Page que son idée de créer un groupe « tomberait comme un ballon de plomb »[3].

Les « paquebots des airs » peuvent apparaître au cinéma et à la télévision, dans des histoires alternatives, des univers parallèles ou oniriques, dont les scénarios sont fictifs ou uchroniques. Cela peut traduire une association emblématique, avec le mouvement de sous-culture steampunk, comme dans le film Capitaine Sky et le Monde de demain ou encore Sucker Punch.

Dans un tout autre registre, les dirigeables peuvent être également le point de départ, de films historiques et dramatiques, tels que The Lost Zeppelin et La Tente rouge mettant en scène, les sauvetages réalisés à la suite de l'accident de l'Italia. L'Odyssée du Hindenburg ou Condamné au silence, concernent les tragédies liées à l'accident du Hindenburg ou celui de l'USS Shenandoah.

À la place, des films comme Les Anges de l'enfer, Flyboys ou Zeppelin font la part belle aux combats aériens, entre des avions biplans et des zeppelins, durant la première guerre mondiale. Les dirigeables sont aussi indissociables des films d'aventures de série B tel que L'Amour en l'an 2000, Buck Rogers ou Murder in the Air.

Les dirigeables figurent aussi en bonne place dans des romans fantastiques populaires, comme dans la trilogie His Dark Materials : À la croisée des mondes, une série créée par Philip Pullman ou encore dans L’Aéroplane fantôme de Paul d’Ivoi ainsi que dans ceux de Jules Verne.

Enfin, les zeppelins exercent une fascination dans les jeux vidéo, certains les associant presque toujours à l'armée allemande comme dans Turning Point : Fall of Liberty, Toy Soldiers ou Wolfenstein, tandis que d'autres en font tout un univers mis en avant comme dans Crimson Skies.


Cinéma et télévision


Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

Les zeppelins aussi bien que les dirigeables en général, inspirent occasionnellement des œuvres cinématographiques du XXe siècle et du XXIe siècle, en les mettant en scène à l'écran. Les scénarios peuvent être historiques ou fictifs, ainsi que les aérostats eux-mêmes.

Les listes dressées ci-dessous par catégories en font un inventaire non exhaustif.


Science-fiction et Fantastique



Historique



Guerre


Des films réalisés dans les années 1930, font référence aux Zeppelins, en raison de leur implication lors des bombardements de Londres, durant la Première Guerre mondiale. Dès 1915, des sites militaires et industriels sont ciblés, mais également des civils. Leur mort provoque un grand désarroi[25]. Celle-ci est mise en scène dans le film Les Anges de l'enfer, réalisé par Howard Hughes en 1930, dans lequel une longue séquence montre les détails d'une attaque de zeppelin, sur la capitale britannique. À partir de 1917, les progrès de la défense anti-aérienne marquent la fin de la menace zeppelin.

La guerre se déroule aussi en mer. En 1917, un film d'actualité de guerre britannique : British Airship in the East du British Film Institute, montre un dirigeable armé de bombes ainsi que son équipage de deux hommes, en réponse à la menace des U-boats[26].

En 1931, Les Titans du ciel de George W. Hill, est un film dramatique où l'on voit plusieurs zeppelins volant ensemble tout en étant escorté par l'aviation[27]. Des images de l'atterrissage historique de 1928 du dirigeable USS Los Angeles (lui-même utilisé comme porte avion) sur le porte avion USS Saratoga sont également incorporées dans l'histoire du film[28],[29].

Dans les années 2000, les bombardements par dirigeables de la Première Guerre mondiale, sont toujours présents dans l'imaginaire collectif. Ainsi en 2006, Flyboys, un film de Tony Bill, retrace le destin de l'escadrille La Fayette, pendant cette guerre et une des missions des pilotes dans le film est d'arrêter un zeppelin qui compte bombarder Paris. Les bombardements par Zeppelin de Paris ont lieu historiquement en 1915 et 1916.


Drame


Le LZ 129 Hindenburg prend feu à Lakehurst en 1937
Le LZ 129 Hindenburg prend feu à Lakehurst en 1937

Depuis les débuts historiques du dirigeable et les images qui lui sont associées, certaines d'entre elles, alimente une culture visuelle, associée au paradigme de la catastrophe[1]. Ces images sont mobilisées, dans des photographies de presse, ou des films d'actualité, dont l'impact médiatique est accentué par la dynamique des images. L'intensité dramatique du film d'actualité, atteint son apogée lors de l'incendie de l'hindenburg à Lakehurst en 1937. En effet, cet accident civil majeur d'un aérostat, est « couvert sur le vif », en temps réel, pour la première fois, par des médias audiovisuels. Ces images catastrophiques sont vues dans le monde entier et vont marquer la fin des vols transatlantiques de zeppelins[30]. L'accident en lui-même entraine la mort de 35 personnes[31],[1]. Des accidents de dirigeables civils ont été plus meurtriers, comme celui du R101 en 1930, causant la mort de 48 personnes, mais il n'y a pas eu d'image « en direct »[32]. Cet évènement montre la puissance et la persistance des images qui migrent à travers les époques et leurs rôles majeurs, dans la constitution d'une représentation et d'un récit.

Ci-dessous se trouve une liste de films dramatiques mettant en scène des dirigeables.


Comédie



Documentaire



Littérature



Jeux



Bandes dessinées



Architecture


À l’origine, le mât de l'Empire State Building devait servir de point d’amarrage à des ballons dirigeables, considérés à l’époque comme les transporteurs de luxe du futur[82]. Un ascenseur avait ainsi été spécialement mis en place entre le 86e et le 102e étage, afin de transférer les passagers qui devaient embarquer. Le projet fut abandonné en raison de risques importants, notamment à cause de courants d’air ascendants, engendrés par la taille de l’immeuble. La première tentative d’amarrage avait pourtant été un succès, mais lors du second essai, le dirigeable qui devait s’arrimer ne fut pas loin de se renverser, et son ballast rempli d’eau se déversa sur des passants, pourtant situés plusieurs étages plus loin[83].

En novembre 1939, le magazine Popular Science publie les cinq années d'étude de l'artiste Nicholas DeSantis sur un projet d'aérogare pour la Ville de New York[84]. Ce dernier conçoit un bâtiment de 200 étages dont le toit est surmonté d'un champ d'aviation, avec plusieurs pistes d'atterrissage et de décollage, long d'un kilomètre et large de trois[85]. Le niveau inférieur, étalé sur les cinquante derniers étages, offre une sorte de port aérien intérieur avec des rampes d'accès pour les dirigeables et zeppelins, contenant plusieurs hangars pouvant les accueillir avec un réseau de rails de tours mobiles d'amarrage qui les tirent à l'intérieur[86].

Le Parc Disneyland Paris propose un établissement de type restauration rapide appelé Café Hyperion dont l'aspect extérieur ressemble à un zeppelin[87]. Le Zeppelin est un centre artistique et culturel de Saint-André-lez-Lille[88].

L’urbaniste Adam Holloway a proposé en 2008 un « Anemorphic Airship Docks » pour la ville de Londres. L’idée consiste à construire une installation aéroportuaire pour dirigeables sous la forme d’une structure métallique en spirale qui pivote légèrement en fonction des vents de la City[89].

Lors de la Biennale de Venise de 2009, l'artiste Mexicain Héctor Zamora crée une installation baptisée Sciame di Dirigibili (Zeppelin Swarm) qui représente un zeppelin gonflable blanc à ailerons rouges coincé dans une ruelle[90].

En 2009, Alexandros Tsolakis et Irene Shamma conçoivent le projet Airbia, qui consiste à faciliter le déplacement des habitants des banlieues vers les centres urbains d’une ville, grâce à une flotte de dirigeables volant à haute altitude[91]. Ce réseau urbain, pensé écologiquement, se fonde sur la flexibilité de son infrastructure composée de plates-formes aériennes avec des installations permettant le vol stationnaire, l'atterrissage et l'accès des passagers aux dirigeables et propose également un ensemble d'itinéraires couvrant plusieurs points centraux du centre-ville[92].

Depuis 2016[93], le toit du Centre d’Art Contemporain DOX situé à Prague est surplombé par une structure en acier et en bois de 42 mètres de longueur qui imite la forme des zeppelins du début du XXe siècle[94].


Philatélie


Timbre américain de 65 cents à l'effigie du Graf Zeppelin
Timbre américain de 65 cents à l'effigie du Graf Zeppelin
Timbre allemand de 1 Reichsmark représentant l'expédition polaire du Graf Zeppelin de 1931 et édité la même année
Timbre allemand de 1 Reichsmark représentant l'expédition polaire du Graf Zeppelin de 1931 et édité la même année

L'histoire des zeppelins est d'un intérêt particulier pour les collectionneurs de timbres. De 1909 jusqu'en 1939, les zeppelins transportent du courrier pendant leurs vols transatlantiques, incluant des couvertures (enveloppes avec timbres attachés et annulés) préparées par et pour les collectionneurs. De nombreuses nations émirent des timbres zeppelin à grand prix dans l'intention du passage par le courrier du zeppelin. Parmi les plus rares de ces couvertures zeppelin, on trouve celles transportées pendant le vol fatal de l'Hindenburg. Celles qui ne furent pas totalement détruites, furent brûlées le long des marges, et d'un prix atteignant plusieurs milliers de dollars.

Dans les années 1930, les zeppelins atteignent une taille gigantesque. Le Graf Zeppelin et l'Hindenburg parviennent respectivement à 237 mètres et 247 mètres de longueur. Cela leur confère une grande capacité à attirer l'attention et en fait des appareils de choix pour la propagande. Durant l'Entre deux guerres, les zeppelins sont une vitrine du savoir faire industriel allemand. Ils permettent de réaliser de luxueux voyages transatlantiques. La représentation de ces voyages sur des timbres diffusés à grande échelle, n'est pas anodine et permet d'en faire la publicité. Elle permet aussi de montrer aux autres nations, la puissance et la maîtrise technologique du pays.

L'utilisation de l'effigie du zeppelin sur des timbres, alimente une culture visuelle, associée au paradigme du voyage[1].

Certains timbres permettent de célébrer un évènement particulier, comme l'expédition polaire du Graf Zeppelin, que l'on peut voir sur ce timbre allemand de 1 Reichsmark.

Des dirigeables sont aussi représentés sur des timbres soviétiques dans les années 1930, sans doute en réponse aux zeppelins allemands. Là aussi, les timbres peuvent servir la propagande, comme celle utilisée lors du premier plan quinquennal en URSS de 1929 à 1933. Durant cette période, des travaux industriels sont entrepris, pour structurer le complexe militaro-industriel soviétique. Cela est mis en scène sur la couverture du timbre ci-dessous, où l'on voit des ouvriers s'affairer, avec un dirigeable en arrière plan. Sur le timbre situé à côté, un appareil survole le Mausolée de Lénine, situé sur la place Rouge, et le met en valeur.

Pour une iconographie sur la culture du zeppelin, incluant notamment les timbres-poste, l’ouvrage illustré de Brigitte Kazenwadel-Drews, Zeppeline Erobern die Welt (2006) reste une bonne référence[1].


Peintures et affiches


Le poste de contrôle du Zeppelin LZ 38
Le poste de contrôle du Zeppelin LZ 38

L'expressionniste et symboliste Léon Spilliaert réalise en 1910 Dirigeable dans son hangar, sur Lavis d'encre de Chine, qui décrit un dirigeable stationnant au-dessus du sol dans son hangar ouvert[95].

Le peintre paysagiste Themistokles von Eckenbrecher (de) a dessiné un zeppelin bombardant la ville d'Anvers en 1914[96].

Felix Schwormstädt illustre dans La salle de contrôle du Zeppelin LZ 38, terminée en 1917, les actions des militaires dans le poste de contrôle du Zeppelin LZ 38. Cet appareil de classe P, de la marine impériale allemande, fut le premier à être employé dans les bombardements de Londres, survenus lors de la Première Guerre mondiale[97].

En 1931, l'artiste russe Georgi Vladimirovich Kibardin réalise une affiche intitulée « Construisons une flotte de Dirigibles au nom de Lénine » pour l'Agitprop. L'œuvre de propagande bolchévique montre Lénine haranguant la foule tandis que plusieurs dirigeables les survolent, combinant ainsi la voie vers le progrès avec ces appareils volants[98].

En mars 1956, dans le cadre du programme américain Des Atomes pour la paix, il a été réalisé une affiche montrant un énorme zeppelin faisant la promotion du programme et bien qu'elle soit particulièrmenet détaillée, il ne fut jamais construit[99].


Musique


Parmi les groupes de rock ayant connu le plus grand succès international, celui fondé en 1968 par Jimmy Page prend le nom de Led Zeppelin (littéralement, Dirigeable / Zeppelin plombé), affichant notamment sur la pochette de son premier disque, la photo du Hindenburg en flammes[100]. Ce nom serait dû à une plaisanterie de Keith Moon, alors batteur de The Who, qui aurait déclaré que le nouveau groupe allait « s'écraser comme un zeppelin en plomb ».

Le 18 octobre 2018 pour fêter le centenaire de la Grande Guerre, le compositeur Jean-François Zygel a accompagné au piano en direct un film muet En dirigeable sur les champs de bataille de Albert Khan sorti en 1919. Le film montrait alors depuis les airs les ravages et la dévastation de la guerre dans les villes françaises[101].

Un dirigeable est également visible sur la pochette du disque La République des Meteors du groupe de rock français Indochine, évoquant la première guerre mondiale, thème central de l'œuvre.


Culinaire


Les cepelinai, ou didžkukuliai, sont le plat national de la Lituanie. Leur nom vient de leur forme qui évoque celle des zeppelins avec une longueur en général d'environ 20 cm dont la taille peut varier selon les régions où on les cuisine.


Voir aussi



Bibliographie



Ouvrages



Articles



Notes et références


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