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Le Mirage 2000 est un avion de chasse conçu par la société française Dassault Aviation, à la fin des années 1970. Bien que la formule à aile delta fasse penser au Mirage III des années 1960 et que le Mirage 2000 soit de taille comparable, il s'agit en fait d'un avion entièrement nouveau, avec une surface alaire plus importante, naturellement instable pour améliorer sa manœuvrabilité et équipé de commandes de vol électriques. Mis en service en 1984, le Mirage 2000 est principalement utilisé par l'Armée de l'air française qui en a reçu 315 exemplaires, tandis que 286 autres ont été exportés vers huit pays différents.

Dassault Mirage 2000

Un Mirage 2000B de l'escadron de chasse 2/5 Île-de-France de l'Armée de l'air en 2010, équipé de missiles air-air Super 530[Note 2].

Constructeur Dassault aviation
Rôle Avion de chasse et de pénétration basse altitude tous temps
Statut En service
Premier vol (2000 C)
Mise en service été 1984 (2000 C), avril 1999 (2000-5)
Nombre construits 601
Équipage
1 pilote (+ 1 navigateur officier système d'armes sur biplace)
Motorisation
Moteur Snecma M53-P2
Nombre 1
Type Turboréacteur avec postcombustion 1 SNECMA M53-P2 de 9 700 kgp de poussées avec P.C.
Poussée unitaire 65 kN (98 kN avec postcombustion)
Dimensions
Envergure 9,13 m
Longueur 14,55 m
Hauteur 5,20 m
Surface alaire 41 m2
Masses
À vide 7 600 kg
Carburant Interne : 3 200 kg
Externe : 6 200 kg
Avec armement 13 800 kg
Maximale 16 500 kg
Mirage 2 000-5 : 17 500 kg
Performances
Vitesse maximale 2 340 km/h (Mach 2,2 à 15 000 mètres
Mach 1,2 à basse altitude
)
Plafond 18 000 m
Vitesse ascensionnelle 18 000 m/min
Rayon d'action (avec réservoirs externes) 1 600 km
Endurance 3 335 km avec réservoirs largables
Charge alaire 337 kg/m2
Rapport poussée/poids (à vide) 1,288
Facteur de charge +9 G / -3,2 G
Armement
Interne 2 canons DEFA 554 de 30 mm (sauf versions N, D et B) - 125 coups par arme.
Externe 6 300 kg de charges (7 000 kg pour le 2000-9), incluant des missiles air-air R550 Magic II (toutes versions), Super 530D (2000 C), MICA (IR ou EM) (2000-5F) ; des bombes freinées ou guidées par laser et des missiles air-sol Apache ou de croisière SCALP-EG (2000 D) et le missile nucléaire ASMPA (2000 N)
Avionique
Commandes de vol électriques, centrale de navigation à inertie, radar RDY (2000-5/-5Mk2) et RDI (2000C/EG) avec capacité Look Down/Shoot Down, pilote automatique et contre-mesures électroniques intégrées

Conception


En , l'Armée de l'air française lance le programme Avion de combat futur (ACF) pour lequel elle demande un avion bi-réacteur doté de Snecma M53 et avec une aile fixe, destiné à des missions de supériorité aérienne. Tout en préparant une réponse à cet appel d'offres, le constructeur Dassault Aviation lance dès l'année suivante, sur fonds privés, l'étude d'un avion monoréacteur à aile delta baptisé « Delta 2000 ». Le , le programme ACF est arrêté, pour des questions de coûts, et le gouvernement décide d'adopter à la place le projet du Delta 2000.

Cockpit du Mirage 2000.
Cockpit du Mirage 2000.

Quatre prototypes d'un avion de chasse monoplace (Mirage 2000C) sont commandés officiellement en 1976. Ils doivent être propulsés par un réacteur M53-2 de 7,5 t de poussée, en attendant le M53-5 plus puissant (poussée de t) destiné aux avions de série. Le premier prototype fait son vol inaugural le . Le premier avion de série s'envole à son tour le , équipé du réacteur M53-5, et les livraisons à l'Armée de l'air française commencent l'année suivante. Le , jour du cinquantième anniversaire de la création de l’Armée de l’air, la 2e escadre de chasse, stationnée à Dijon, fut la première escadre à recevoir le Mirage 2000. Les 37 premiers avions de série sont livrés avec un radar RDM (Radar Doppler Multifonction), car la mise au point du radar RDI (Radar Doppler à Impulsions) s'avère difficile. Il faudra finalement attendre 1987 pour que soient livrés les premiers exemplaires enfin équipés du radar RDI, et qui reçoivent également un réacteur M53-P2 encore plus puissant (9 700 kgp).

L'appareil hérite des souris mobiles[1], déjà présentes sur le Mirage III. Elles permettent de modifier le profil des entrées d'air du réacteur.

Le prototype de la version biplace d'entraînement (Mirage 2000B), entièrement financé par des fonds propres de Dassault Aviation, fait son premier vol le . Dès 1979, l'Armée de l'air française avait commandé une version biplace destinée à l'assaut nucléaire, et capable pour cela d'emporter le missile ASMP-A alors en développement. Désignée Mirage 2000N, elle dispose d'une structure renforcée pour voler à basse altitude et grande vitesse, ainsi que d'un système de navigation et d'attaque basé sur le radar Antilope V, doté d'un mode suivi de terrain qui permet la détection du terrain dans le plan vertical à 12 km et le vol en mode automatique ou manuel à 200 pieds (60 m) d'altitude et 600 nœuds (1 110 km/h). Les canons ont été supprimés, et les souris sont désormais fixes, limitant la vitesse à Mach 1,5. Le siège arrière est occupé par un Navigateur Officier Systèmes d'Armes (NOSA, équivalent du Warfare Systems Officer des pays anglophones). Le premier prototype du 2000N fait son vol inaugural le et la version est mise en service en 1988. Les 31 premiers exemplaires ne peuvent emporter que le missile ASMP, mais les avions suivants (standard 2000N-K2) sont capables de missions conventionnelles, avec un large éventail de bombes classiques, guidées par laser, anti-pistes, ou bien de missiles anti-radars, anti-navires, etc.

L'expérience opérationnelle fait apparaître le besoin d'une plus grande capacité en carburant et d'une plus grande capacité en mode air-air. À la suite d'un nouvel appel d'offres de la DGA, 37 Mirage 2000 C sont transformés en Mirage 2000-5. Cette nouvelle version intègre de nouvelles technologies et des fonctionnalités souvent dérivées de celles du Rafale, principalement le radar RDY multifonction capable de détecter 24 cibles simultanément et de suivre 8 cibles dont 4 en mode prioritaire, avec une capacité de détection en mode air-air portée à 130 km contre 120 km pour le RDI (110 km pour le RDM), l'ajout de quatre points d'emport MICA qui permettent de tirer jusqu'à six missiles en mode « tire et oublie », sans avoir recours à la liaison de données. Le Mirage 2000-5 est optimisé pour les opérations d'interception à haute altitude et à des vitesses supersoniques (Mach 2,2 à 15 000 m), avec son moteur Snecma M53-P2, sa masse maximum au décollage est portée de 16,5 à 17,5 t. Le Mirage 2000-5 possède un système interne et intégré de contre-mesures électroniques, comprenant un détecteur de menaces avec des lance-leurres électromagnétiques ou infrarouges.

Cette rénovation a aussi permis de récupérer les 37 radars RDI remplacés par le RDY et de remettre à niveau les 37 Mirage 2000C qui avaient été livrés avec le radar RDM.

Deux versions légèrement différentes, appelées Mirage 2000-5 Mk.2 et Mirage 2000-9 et dotées de capacités multirôle (possibilité de configuration mixte air-air/air-surface), ont été dérivées du Mirage 2000-5 et commandées par la Grèce et les Émirats arabes unis (EAU) respectivement.


Versions


Mirage 2000 C/B/D/N/-5 Armée de l'air.
Mirage 2000 C/B/D/N/-5 Armée de l'air.

À l'origine développé pour être un avion d'interception et de supériorité aérienne, le Mirage 2000 a été ensuite commercialisé en différentes versions :


Mirage 2000B


Version biplace d'entraînement. Appareils stationnés sur la base aérienne de Nancy-Ochey depuis l'été 2022. Sept RDI S5 en service au [2] :


Mirage 2000C


Version monoplace utilisée pour la défense aérienne et entrée en service en juillet 1984 à l'escadron de chasse 1/2 Cigognes de la base aérienne 102 Dijon-Longvic. Appareils RDI S5 encore en service pouvant, depuis 2016, embarquer quatre bombes. Ils sont stationnés sur la base aérienne d'Orange-Caritat. L'Escadron de chasse 2/5 Île-de-France opèrent les 12 derniers Mirage 2000C qui sont retirés du service le 23 juin 2022[3]. 4 appareils effectuent le dernier défilé du Mirage 2000C le 14 juillet 2022 :


Mirage 2000-5


Version monoplace d'abord uniquement destinée à l'exportation, l'Armée de l'air prend ensuite la décision de porter un certain nombre de ses Mirage 2000C à la norme 2000-5, et rentre ainsi dans le « club des Fox 3 » (Voir article sur Missile air-air : Fonctionnement du mode « Fox 3 » : exemple avec le Mirage 2000-5 équipé du radar RDY). Il dispose d'une avionique profondément rénovée, avec notamment un radar RDY (Radar Doppler Y), d'un viseur tête haute Thomson-CSF VEH-320, de commandes Hotas (en anglais : hands on throttle and stick : « mains sur manette et manche ») et de contre-mesures intégrées ICMS Mk.II. Les Super 530D sont remplacés par 4 MICA EM (missile d'interception et de combat aérien), plus petits et plus modernes, adaptés à l'utilisation en défense aérienne.


Mirage 2000-9


Version totalement polyvalente avec radar RDY-2 (15 % de portée supplémentaire comparé au RDY), EMTI (Ensemble Modulaire de Traitement de l'Information), pod de désignation laser, vendue aux Émirats arabes unis (EAU) et à la Grèce[réf. nécessaire]. Cette version est capable de missions air-air avec des capacités proches des 2000-5, air-sol avec des missiles Black Shaheen (version du SCALP-EG spécifique aux EAU) et air-surface avec missiles Exocet, le tout avec ravitaillement en vol. L’avion est aussi doté du mode de visualisation des cibles mobiles pour le suivi de véhicules au sol, et un mode air/mer.

La France livre aux EAU soixante-deux Mirage 2000-9 entre 1998 et 2009. Un projet de modernisation des appareils, par Dassault Aviation et Thales, est annoncé en 2017 par les EAU mais n'a pas encore abouti en juillet 2018 selon Le Monde[4],[5],[6]. Le contrat de modernisation est finalement signé en [7].

Des Mirage 2000-9 sont utilisés par les EAU pendant la guerre du Yémen[8],[9],[10].


Mirage 2000N


Article détaillé : Dassault Mirage 2000N/2000D.

Version spécialisée dans la frappe nucléaire en service de 1988 à 2018, emportant le missile Air-sol moyenne portée amélioré (ASMP-A) pour le 2000 NK3 (les 2000 NK1 et NK2 emportaient l'ASMP d'origine), désormais remplacé par le Rafale dans ce rôle. Les 2000 NK2 et NK3 pouvaient emporter de l'armement conventionnel comme des bombes ou des lance-roquettes (les 2000 NK1 ne faisaient que du nucléaire à l'origine avec 1 missile ASMP). Tous les 2000 N pouvaient emporter 2 Magic d'autodéfense, ils n'avaient pas de canons de 30 mm (comme tous les 2000 biplaces).


Mirage 2000D


Article détaillé : Dassault Mirage 2000N/2000D.
Mirage 2000D de la 30e escadre de chasse.
Mirage 2000D de la 30e escadre de chasse.

Version biplace air-sol d'assaut conventionnel tout temps spécifique à la France.


Mirage 2000E


Appareils réservés à l'exportation, avec possibilités de modifications de l'avionique suivant les clients, mais toujours autour du radar RDM.


Autres caractéristiques


Les autres caractéristiques sont les suivantes :


Engagements



France


Les engagements des Mirage 2000 pour la France sont les suivants :


Grèce



Inde


Un Mirage 2000 biplace de l'Armée de l'air indienne.
Un Mirage 2000 biplace de l'Armée de l'air indienne.

Émirats arabes unis



Qatar



Pérou



Pays utilisateurs


La production de Mirage 2000 a été arrêtée en 2007 : 7 prototypes, 4 appareils de présérie et 601 de série — soit 612 machines au total — sont sortis des usines Dassault Aviation. Les derniers ont été livrés à la Grèce le .


France


Un KC-135 Stratotanker de l'US Air Force ravitaille en vol un Mirage 2000D de l'Armée de l'air française au-dessus de l'Afghanistan, le 21 juillet 2007.
Un KC-135 Stratotanker de l'US Air Force ravitaille en vol un Mirage 2000D de l'Armée de l'air française au-dessus de l'Afghanistan, le .
Un Mirage 2000-5 appartenant à l'escadron 1/2 Cigognes de l'Armée de l'air française.
Un Mirage 2000-5 appartenant à l'escadron 1/2 Cigognes de l'Armée de l'air française.

314 exemplaires (131 en ligne le )[21] :

Plusieurs Mirage 2000 B et 3 Mirage 2000 N servent en sus en 2018 à la DGA Essais en vol[26]


Brésil


12 exemplaires :


Égypte


20 exemplaires :


Émirats arabes unis


68 exemplaires :

En 2009, 62 Mirage 2000-9 ont été livrés. Il avait été envisagé qu'ils puissent être repris par la France et revendus sur le marché international de l'occasion, en échange de l'achat de 60 Rafale sur la période 2012-2014[29].


Grèce


Un Mirage 2000 EG grec au décollage.
Un Mirage 2000 EG grec au décollage.

55 exemplaires :


Inde


Un Mirage 2000 indien et un F-15 de l'US Air Force sur la base aérienne de Gwalior (en), durant l'exercice Cope India (en) 04, en 2004.
Un Mirage 2000 indien et un F-15 de l'US Air Force sur la base aérienne de Gwalior (en), durant l'exercice Cope India (en) 04, en 2004.

59 exemplaires :

Un contrat de modernisation des 49 Mirage 2000 H/TH indiens restants a été signé en juillet 2011 pour les porter au standard I/TI. Il consiste en une mise à jour complète de l'électronique embarquée (intégration de cinq systèmes de visualisation, nouvelle liaison de données, radar RDY-3, système de navigation TOTEM, suite de guerre électronique ICMS Mk4, nouveau système IFF) et des systèmes d'armes (capacité de tir MICA notamment), destinée à prolonger la vie opérationnelle des appareils d'une vingtaine d'années. Deux appareils sont modifiés en France, au Centre d'Essais en Vol de Dassault Aviation, à Istres. Le premier appareil modernisé en France a effectué son premier vol le 5 octobre 2013 et a été réceptionné par les forces aériennes indiennes le 25 mars 2015[30],[31]. Les autres appareils sont pris en charge localement par Hindustan Aeronautics Ltd (HAL). Ce contrat est divisé en plusieurs lots, dont environ 1,4 milliard d'euros pour rénover les cellules (1 milliard d'euros pour Thales et 400 millions pour Dassault Aviation), 900 millions d'euros pour 500 missiles MICA (MBDA) et des kits de lancement (Thales et l'Indien HAL)[32].


Pérou


12 exemplaires :


Qatar


12 exemplaires :


Taïwan


Mirage 2000-5 taïwanais.
Mirage 2000-5 taïwanais.

60 exemplaires :


Accidents


Entre 1984 et 2019, au moins 89 appareils ont été perdus à la suite d'accidents[34].


Armée de l'air égyptienne



Force aérienne des Émirats arabes unis



Armée de l'air française


Les accidents suivants ont été enregistrés dans l'Armée de l'air française :

Mirage 2000D no 612 accidenté le 24 mai 2011 en Afghanistan, récupéré par un M88 Recovery Vehicle de l'USMC lors d'une opération franco-américano-italienne.
Mirage 2000D no 612 accidenté le en Afghanistan, récupéré par un M88 Recovery Vehicle de l'USMC lors d'une opération franco-américano-italienne.

Force aérienne grecque


Les accidents suivants ont été enregistrés au sein de la Elleniki Polemikí Aeroporía :


Force aérienne indienne


Les accidents suivants ont été enregistrés au sein de l'Indian Air Force :


Force aérienne de Taïwan



Marquages et unités françaises


Les Mirage 2000C RDI ont équipé les unités françaises suivantes[86],[87] :

Unité Début Fin
EC 5/330 Côte d'Argent septembre 1987 (inconnue)
EC 1/5 Vendée Premiers avions juillet 1988 29 juin 2007
EC 2/5 Ile de France Premiers avions début 1989 23 juin 2022
EC 3/5 Comtat Venaissin Opérationnel fin 1990 31 août 1997
EC 1/12 Cambrésis Opérationnel en avril 1992 30 mars 2012
EC 2/2 Côte d'Or 1998 1999
EC 2/12 Picardie Premiers avions en sept. 1992 7 juillet 2009
EC 4/33 Vexin Juillet 2001 2008
EC 3/11 Corse 3 novembre 2008 fin 2011

Dans la culture populaire


Le Mirage 2000 est mis en scène dans les jeux vidéo et autres simulateurs suivants :

Actuellement la réplique la plus fidèle du Mirage 2000 est disponible sur le simulateur DCS World avec la version 2000-C réalisée par RAZBAM.

Il est aussi l'un des éléments principaux du film français Les Chevaliers du ciel, réalisé par Gérard Pirès et sorti en 2005.


Notes et références



Notes


  1. Retiré du service fin , il s'agit du dernier des Mirage 2000 produits de 1980 à 1985 à avoir été dotés du turboréacteur M53-5 de 9 000 kgp de poussée avec postcombustion. Il ne reste plus, à cette date, que des Mirage 2000 équipés avec le M53-P de 9 700 kgp.
  2. Retiré du service fin , il s'agit du dernier des Mirage 2000 produits de 1980 à 1985 à avoir été dotés du turboréacteur M53-5 de 9 000 kgp de poussée avec postcombustion. Il ne reste plus, à cette date, que des Mirage 2000 équipés avec le M53-P de 9 700 kgp.

Références


  1. Mirage 2000-N in Portail-Aviation.com
  2. « Question N° 72354 », sur Assemblée nationale, (consulté le ).
  3. Mathieu Mounicq, « EC 2/5 « Île-de-France » : un « Tactical Display » pour les 80 ans », RAIDS-Aviation, no 56, , p. 12-28 (ISSN 2269-1715).
  4. Anne Poiret, Mon pays vend des armes, Paris, Les Arènes, , 297 p. (ISBN 978-2-7112-0106-8), p. 140-141
  5. Michel Cabirol, « Les Emirats Arabes Unis lancent la modernisation des Mirage 2000-9 », La Tribune,
  6. Jacques Follorou, « Les Emirats arabes unis, hub international du renseignement », Le Monde,
  7. Michel Cabirol, « Les Emirats Arabes Unis lancent vraiment la modernisation de leurs Mirage 2000-9 », La Tribune,
  8. Benoît Collombat, cellule investigation de Radio France et Disclose, « Révélations : voici la carte des armes françaises au Yémen, selon un rapport "confidentiel Défense" », France Inter,
  9. « Made in France », sur Disclose, .
  10. [PDF] Direction du Renseignement militaire, « Liste des armes (document confidentiel défense) », sur Disclose,
  11. « Projet de loi de finances pour 2000, Tome VII, Défense-Air », Commission des affaires étrangères du Sénat français, (consulté le ).
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  13. « L'Armée de l'air fait la police en mer Baltique », Avions légendaires, (consulté le ).
  14. « Fin de mission pour les 4 Mirage 2000-5 français en Lituanie », sur www.opex360.com.
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Voir aussi


Développement lié

Aéronefs comparables

Ordre de désignation

Articles connexes


Bibliographie



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[de] Dassault Mirage 2000

Die Mirage 2000 ist ein französisches Mehrzweckkampfflugzeug, das vom Flugzeughersteller Dassault entwickelt und produziert wurde.

[en] Dassault Mirage 2000

The Dassault Mirage 2000 is a French multirole, single-engine, fourth-generation jet fighter manufactured by Dassault Aviation. It was designed in the late 1970s as a lightweight fighter to replace the Mirage III for the French Air Force (Armée de l'air). The Mirage 2000 evolved into a multirole aircraft with several variants developed, with sales to a number of nations. It was later developed into the Mirage 2000N and 2000D strike variants, the improved Mirage 2000-5, and several export variants. Over 600 aircraft were built and it has been in service with nine nations.
- [fr] Dassault Mirage 2000

[it] Dassault Mirage 2000

Il Dassault Mirage 2000 è un caccia multiruolo di costruzione francese entrato in servizio nella prima metà degli anni ottanta.

[ru] Dassault Mirage 2000

Дассо «Мираж» 2000 (Dassault Mirage 2000) — французский многоцелевой истребитель четвёртого поколения[2], разработанный в 1970-х годах фирмой Дассо. На вооружении с 1984 года. Основной боевой самолёт ВВС Франции в конце XX — начале XXI века. Состоит на вооружении нескольких стран Азии, Европы и Латинской Америки.



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