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Un avion bombardier d'eau (ABE)[1] est un avion utilisé pour la lutte contre les feux de forêt.

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Hercules C-130 de la Garde nationale des États-Unis effectuant un largage de retardant en Californie (1997).
Hercules C-130 de la Garde nationale des États-Unis effectuant un largage de retardant en Californie (1997).
Canadair CL-215T de la force aérienne espagnole en mai 2005.
Canadair CL-215T de la force aérienne espagnole en mai 2005.
Beriev Be-200 en démonstration en janvier 2007 aux Émirats arabes unis.
Beriev Be-200 en démonstration en janvier 2007 aux Émirats arabes unis.

Missions des avions bombardiers d'eau


L'avion bombardier d'eau (ABE) peut larguer de l'eau, simple ou additionnée de « retardant », un produit coloré (rouge) qui revêt la végétation d'une pellicule ignifuge (le retardant est une combinaison de sel ignifugeant -du phosphate d'ammonium, plus précisément-, d'épaississant -de la gomme ou de l'argile-, de quelques composants de moindre importance et de l'oxyde de fer qui agit en fait comme colorant) . Par météo défavorable (température ambiante élevée, vitesse du vent supérieure à 20 nœuds, teneur en eau du sol inférieure à 30 millimètres), très souvent présente en saison estivale, quelquefois dès le printemps ou prolongée en automne, les ABE peuvent exercer une veille aérienne, soutes pleines, à titre préventif.


Contraintes


Les avions bombardiers d'eau sont soumis à des contraintes très importantes :

Les ABE sont donc soumis à des difficultés de pilotage et à des contraintes énormes, ce qui explique la fréquence des accidents, et notamment de ruptures en vol (en particulier rupture par fatigue).


Modèles d'avions bombardiers d'eau


Avions de la California Air National Guard montrant leurs capacités de lutte contre l'incendie

Les premiers bombardiers d'eau ont été les Catalina (surnom anglais) ; ces appareils étaient au départ des hydravions bombardiers-patrouilleurs militaires créés au milieu des années 1930, pour la lutte anti-sous-marine, les patrouilles côtières et le sauvetage maritime. Produits par le constructeur Consolidated, puis Convair (surnom canadien : Canso), certains d'entre eux furent transformés en bombardiers d'eau après la Seconde Guerre mondiale. Puis, la société Canadian Vickers (devenu Canadair) les reconditionna en modèle 28-5 , relancé pour servir l'ARC puis pour cet usage spécifique. De fait, ils ont été les précurseurs du Canadair CL-215.

Les ABE les plus connus sont ceux de la marque Canadair (constructeur Bombardier), souvent surnommés « pélican » en raison de leur forme. Ce sont des hydravions qui remplissent leurs soutes en vol rasant sur les plans d'eau. Deux modèles sont en service, le CL-215 puis le CL-415 ; le CL-415 emporte 6 100 litres.


Modèles d'avions bombardiers d'eau


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Constructeur et modèlePays d’origineCapacité (L)Appareils produitsAppareils en serviceHydravion
Air Tractor AT-802F États-Unis+03 050, (maximum)X
AN-32P « Firekiller » Ukraine+08 000,
BAe 146 Royaume-Uni+11 000,1 (en 2012[2])1
Beriev Be-200 Russie+11 800,X
Bombardier Q-400 MR (ou Dash 8) Canada+09 800,
Canadair CL-215 Canada+04 900,12764 (en 2011)[3]X
Canadair CL-415 Canada+06 140,79 (en 2012[3])X
Canadair DHC-515 Canada ?22 (en projet)X
Consolidated PBY Catalina États-Unis+03 800, (5 700 pour le Super model)0X
Douglas DC-4 États-Unis0
Douglas DC-6 États-Unis+12 000,
Douglas DC-7 États-Unis+11 000,
Boeing 747 Supertanker États-Unis+77 600,31 (en 2017)
Fokker F27 Pays-Bas+06 800,
Grumman S-2 Tracker États-Unis+04 500,
Harbin SH-5 Chine+10 000,81 (en 1988)X
Iliouchine Il-76 « Desastres » Russie+43 230,
Lockheed C-130 Hercules États-Unis+13 627,
Lockheed P-2 Neptune États-Unis+08 940,
Lockheed P-3 Orion États-Unis+11 000,8 (États-Unis)
Martin Mars États-Unis+27 000,72 (Canada)X
McDonnell Douglas DC-10 Air Tanker « Air Tanker » États-Unis+45 000,2 (+8 en projet)2 (États-Unis)
McDonnell Douglas MD-87 États-Unis+11 000,5 (2 en projet)5 en 2018[4]
Pilatus PC-6 Turbo-Porter Suisse+01 000,-2 (États-Unis)
PZL-Mielec M-18 Dromader Pologne+02 200,
ShinMaywa US-2 Japon+15 000,44 (Japon)X
Tracker S-2FT États-Unis+03 409,

Projets


Beriev Be-200

Le Beriev Be-200, construit par la société russe Beriev et motorisé par des réacteurs Progress marinisés (résistants à l'exposition à l'eau de mer), pourrait emporter 12 tonnes d'eau en transitant entre 550 et 610 km/h. Le ministère des Situations d'urgence russe utilise déjà avec succès cet appareil qui a été évalué sur la base de la sécurité civile française à Marignane durant l'été 2011.

Air Tractor

Beaucoup plus léger, l'Air Tractor AT-1002 est en cours de test depuis novembre 2009. Sa capacité d'emport serait de 4 012 L[5].

Airbus CASA C-295

Airbus dispose depuis 2013 d'un prototype de CASA C-295W en configuration de bombardier d'eau[6] auquel la France s'intéresse pour le renouvellement de sa flotte, prévoyant un financement dans ce sens à partir de 2017[7].

Airbus A400M

En 2021, Airbus commença, en collaboration avec la division aéronautique d'Akka Technologies, à étudier un usage particulier de l'A400M, en tant que bombardier d'eau. La solution retenue est l'installation d'un kit, ne nécessitant aucune modification de l'appareil[8]. Il s'agit d'une citerne que l'on fait glisser dans la soute de l'avion (roll on/roll off) dans laquelle on l'arrime et qui peut-être rapidement installée, deux tuyaux courant le long de la rampe permettent le largage de l'eau[9].

Grâce à cette configuration, un A400M peut transporter au moins 10 tonnes d'eau à larguer (contre 6 pour un Canadair)[10]. À la différence d'autres appareils actuellement en usage, il pourra atterrir même sur la plage pour se ravitailler en eau, ce qui ne durerait que 5 à 10 minutes[10]. En juillet 2022 en Espagne, avec ce kit, Airbus réussit à larguer jusqu'à 20 tonnes d'eau en 10 secondes à une altitude de 45 mètres et une vitesse de 230 km/h[10]. Les vols d'essai doivent se poursuivre, notamment de nuit, afin de confirmer la sécurité de ce type de mission. Si tous les résultats sont favorables, cette configuration sera opérationnelle à l'été 2023[10].

Autres

Enfin, des constructeurs travaillent sur un mini bombardier d'eau (UBE), d'une capacité d'environ 250 litres.


En France


En France on parle de « guet aérien armé » ou « GAAR », pour désigner la veille aérienne préventive, soutes pleines[11].

En mission de GAAR, l'ABE suit un circuit préétabli, survolant les zones à risque, pour surveiller tout signe d'apparition ou de développement d'un incendie. S'il en détecte un (flamme ou fumée, annonciateurs avec probabilité élevée d'un feu naissant), il informe son COZ de rattachement et il effectue un largage, dont le but est d'essayer de « tuer » le feu avant son extension. Il a donc un double rôle de détection et d'action significative à délai minimum contre les éclosions.

Durant leur parcours les avions du GAAR peuvent être appelés à traiter des feux récemment établis :

Le GAAR et sa conséquence logique (abandon de l'ancienne doctrine selon laquelle les moyens aériens ne doivent être utilisés « qu'en présence de troupes au sol ») ont été officiellement proposés comme nouvelle méthode de lutte contre les feux de forêt par le capitaine de vaisseau E. Cucchi, commandant le Bataillon de marins-pompiers de Marseille, dans les rapports « feux de forêt » numéro 2200 IDSIS du 3 septembre 1979 et numéro 3362 du 24 novembre 1980, adressés à M. le Préfet de la Région PACA, Préfet des Bouches du Rhône, cabinet DDSC.

Ils ont été développés et commentés dans le quotidien français Le Monde du 29 juillet 1986, page neuf, sous le titre « Mieux utiliser les bombardiers d'eau », ainsi que dans la « Revue générale de sécurité » aujourd'hui disparue, no 25 (juillet 1983), no 65 (juillet 1987) et no 77 (octobre 1988).

En 2020, la Sécurité civile française disposait de seize avions bombardiers d'eau, représentant une capacité de 112 000 litres[12]. Cette capacité a été portée en 2022 à 19 appareils.

Depuis avril 2017, la base des ABE a déménagé de l'aéroport Marseille-Provence vers l'aéroport de Nîmes-Garons. Cette décision a été prise notamment en raison des contraintes que posent les décollages et atterrissages prioritaires, devenus problématiques sur la plate-forme aéroportuaire déjà bien chargée de Marseille. Les ABE ont rejoint la flotte d'hélicoptères de la Sécurité civile qui était déjà stationnée à Nîmes[13],[14].


Appareils utilisés


En juillet 2022, la flotte comprend douze Canadair CL-415, et sept Dash 8 Q400 en sus des appareils loués par les collectivités territoriales et Services d'Incendie et de Secours.[15]


Consolidated PBY Catalina/Canso

Le Consolidated PBY Catalina est le premier bombardier d'eau qui fut utilisé en France. Leur indicatif était « Pélican » suivi d'une couleur. Ces avions étaient du type PBY-5A, à l'exception de Vert et Jaune qui étaient des PBY-6A ; ces derniers, bien que plus modernes, furent jugés instables à l'hydroplanage et donc interdits d'écopage, perdant dès lors beaucoup d'intérêt. Les appareils CVxxx ont été construits au Canada (ils s'appelaient alors Canso et non Catalina).

Les appareils Blanc et Rouge sont entrés en service en 1963, suivis de Vert et Jaune en 1964.

PBY-5A
PBY-6A

Canadair CL-215

La France a acheté une quinzaine de canadair CL-215 pour remplacer les Catalina et Canso. Les indicatifs étaient liés à leur numéro de série :

par exemple, le no 1001 a reçu l'indicatif « Pélican 01 » et le no 1023, « Pélican 23 ».

Les appareils 21, 22, 23 et 24 sont entrés en service en 1969 ; les 05 et 25 à 29 en 1970 ; le 19 en 1971, le 01 en 1972, le 40 en 1974, le 46 en 1975 et le 47 en 1976.

Sauf mention contraire, ces appareils ont été démobilisés en 1996.


Pilatus PC-6

En été 1977, le Service départemental d'incendie et de secours de Haute-Corse en France signe un contrat avec Air Alpes pour la mise en place à Calvi de deux Pilatus PC-6 destinés à la lutte contre les feux de forêts en Balagne. Ces avions avaient une mission de « guet armé », c'est-à-dire : surveillance, signalement des départs de feu et intervention immédiate. Pour cela, ils étaient équipés d'un réservoir de 1 000 litres installé en cabine. Ces 1 000 litres pouvaient être largués en quelques secondes par l'intermédiaire d'une trappe située sous le fuselage de l'appareil.


Douglas DC-6B

Douglas DC-6 aux couleurs d'UTA
Douglas DC-6 aux couleurs d'UTA

Cinq Douglas DC-6B gros porteurs (12 tonnes) ont été utilisés. Ils sont entrés en service en 1980 et ont été démobilisés en 1990.


Grumman S2F Tracker / Conair Firecat

Initialement construits comme avions de lutte anti-sous-marine par Grumman sous le nom de S2F Tracker, ces avions ont été modifiés pour la lutte anti-incendie après leur retrait du service par les forces armées. Il y a eu 2 programmes de modifications distincts :

- les appareils transformés aux Etats-Unis à la demande du California Department of Forestry and Fire Protection (en), dont le premier vol a eu lieu en 1974. Plusieurs dizaines d'avions furent utilisés et, à la fin des années 1980, ces avions commencèrent à être remplacés par le S2-T développé par la société Marsh Aviation (avions remotorisés avec des turbopropulseurs Garrett TPE331).

- les appareils transformés par la société canadienne Conair Aviation (en) sous la désignation Firecat, et dont le premier vol a eu lieu en 1978. Le réservoir de retardant a une capacité de 3 400 litres et comprend 4 soutes qui peuvent être utilisées ensemble ou séparément. Equipés de doubles commandes, ils sont cependant généralement pilotés par un seul pilote bien qu'un copilote ou un observateur (pompier) puisse également être présent à bord. En 1988 apparut le Turbo Firecat (ou Turbo Tracker), équipés de turbopropulseurs Pratt & Whitney PT6A de 1600 chevaux à la place des moteurs à pistons d'origine. Les Firecat ont été convertis en Turbo Firecat entre 1989 et 1995. Ces avions ont notamment été utilisés par la Sécurité Civile française à partir de 1982, les derniers exemplaires restants étant retirés du service en février 2020 à la suite de problèmes de fissures dans le train d'atterrissage[17]. Leur historique complet figure ci-dessous :


BAE 748-2

La société Macavia proposait un BAé 748 équipé d'une soute ventrale de 2 000 gallons US (7 600 litres). Il en fut loué un (un seul modifié) pour tests en 1987, puis de 1988 à 1990. Cet exemplaire unique en France est donc resté sous registre britannique et n'a jamais été immatriculé en Fox-Zoulou (F-Zxxx). Il semble que cet appareil ait été abandonné sur l'aéroport de Châteauroux - Déols à la suite du manque de fiabilité du système d'ouverture des soutes. La cellule (propriétaire anglais) était détruite par un ferrailleur en juin 1998, le kit appartenant à Macavia est toujours à Châteauroux.


Fokker F-27-600

Les Fokker 27 ont été utilisés dans la surveillance et l'attaque immédiate (en parallèle des plus petits Firecat) depuis 1988 et jusqu'en 2004. Il s'agit d'un avion de transport léger, converti par la société canadienne Conair (en) sous le nom de FireFighter. Ils sont remplacés par le Dash-8.

Les indicatifs visibles sur les dérives des appareils étaient 27 (crash en 1989) et 28. D'abord appelés Pélican 627 et Pélican 628 — propriétaire Conair où dans leur pays les codes feux ont trois chiffres, même le Québec s'est plié à cette règle) — on leur attribue un code définitif : Pélican 71 (nom F-ZBFF Conair 003) et Pélican 72, et donc une nouvelle numérotation à l'arrière : 71 et 72.


Bombardier Canadair CL-415

À la suite de la fusion en 1987 de Canadair et Bombardier, ces appareils sont connus comme « Canadair CL-415 » et « Bombardier 415 » (et d'autres combinaison des termes précédents). Le CL-415 est un nouvel appareil, conçu comme une profonde évolution du CL-215T (version à turbopropulseurs du CL-215). L'avionique a été entièrement revue, des écrans cathodiques remplaçant les cadrans à aiguilles. De l'extérieur, il n'est pas évident de voir la différence avec un 215T, mais le 415 emporte une plus grande charge (6 300 litres contre 5 500).

Pélicans 36, 37 et 44 écopant dans le golfe de la Revellata à Calvi en juillet 2005
Pélicans 36, 37 et 44 écopant dans le golfe de la Revellata à Calvi en juillet 2005

Lockheed C-130 Hercules

Après le retrait des Douglas DC-6B, la France a loué des Lockheed C-130A équipés pour le bombardement d'eau. Ils ont toujours opéré sous immatriculation américaine.

À la suite du crash de Pélican 82, les locations n'ont pas été reconduites et un projet d'achat de C-130 a été annulé[22].


De Havilland Canada DHC-8 Q400 MR « Dash 8 »

Dash 8 larguant du retardant sur le Camp des Garrigues en 2006
Dash 8 larguant du retardant sur le Camp des Garrigues en 2006

Le Dash 8 a été choisi en 2005, de préférence au Beriev 200, pour remplacer les Fokker 27. C'est un avion de transport terrestre, équipé d'une soute de 10 000 litres. Ce choix a été critiqué en raison de sa limitation à g en ressource, contre 3,25 g pour les autres appareils de la Sécurité civile.

La Sécurité Civile utilise donc deux Dash 8 à partir de la saison 2005. Ils portent l'indicatif « Milan 73 » et « Milan 74 », prenant ainsi la suite des F-27 « Pélican 71 » et « Pélican 72 ». En juillet 2017, on annonce l’achat de six autres appareils de ce type[23] pour remplacer les Tracker, qui doivent être retirés du service d'ici 2021. Ces nouveaux Dash 8 ont des capacités améliorées, notamment pour les évacuations sanitaires, et sont désignés Q400 MRE[24]. Le premier est livré en 2019[24].

L'indicatif radio MILAN que portent les Dash est en rapport avec le rapace le Milan Royal dont on pouvait voir la tête dessinée sur l'empennage Milan 73 avant d'être repeint aux nouvelles couleurs de la Sécurité Civile.


Accidents



En Espagne



En France



Filmographie



Notes et références


  1. « Avions anti-incendies en Provence | Provence 7 », (consulté le )
  2. Frédéric Marsaly, « La mission impossible des pompiers du ciel américains », Air & Cosmos, no 2322 S,
  3. (en)« Bombardier Sells Four Bombardier 415 Amphibious Firefighting Aircraft to an Undisclosed Customer », Bombardier, (consulté le )
  4. (en) « Frequently Asked Questions », .
  5. (en)« Air Tractor AT-1002 Debuts At 2009 NAAA Convention », Air Tractor, (consulté le )
  6. Airbus développe avec Coulson un C295W version bombardier d'eau, lesechos.fr, 10 novembre 2015.
  7. La France va progressivement renouveler ses bombardiers d'eau, lesechos.fr, 28 juillet 2016
  8. Le Journal d'Aviation, 10 juin 2021, "L'Airbus A400M bientôt capable de lutter contre les incendies ?"
  9. "Interview de Jean-Brice Dumont, directeur du programme militaire d'Airbus", France Info, 26 juillet 2022
  10. France Info, Lutte contre les incendies : Airbus a testé un kit transformant un A400M en bombardier d'eau en quelques minutes, le 25 juillet 2022
  11. « Protéger la forêt contre les incendies », Direction de la Sécurité Civile, (lire en ligne)
  12. Direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des crises, Protéger nos forêts et les populations contre les incendies, (lire en ligne)
  13. Christophe Vial, « Les Canadair vont bientôt atterrir à Nîmes-Garons », sur laprovence.com, (consulté le ).
  14. Fabrice Dubault, « Les avions de la sécurité civile arriveront à Nîmes-Garons en 2017 », sur france3.fr, (consulté le ).
  15. Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer, Dossier de presse : protéger les populations, les biens et l'environnement contre les feux de forêt, Paris, , 24 p. (lire en ligne)
  16. Frédéric Marsaly et Samuel Prétat, Bombardiers d'eau Canadair Scoopers, Éditions Minimonde76 (ISBN 978-2-9541818-0-6), p.59
  17. Frédéric Marsaly, « Retraite immédiate pour les Tracker de la Sécurité Civile » , sur Aerobuzz,
  18. F-ZBDA réservé à la sureté de l'État (Police) et F-ZBCA ex DC7 AMOR et AWACS réservé au porteur de radars
  19. « Rapport d’enquête de sécurité S-2019-09-A », sur Ministère de la Défense - BEA-É,
  20. Harro Ranter, « Crash-aerien 06 SEP 2000 d'un Lockheed C-130A Hercules N116TG - Aubenas », sur aviation-safety.net (consulté le )
  21. « Rapport d'accident - C-130A immatriculé N116TG », sur bea.aero, (consulté le )
  22. Frédéric Marsaly, « L'impossible travail du "Hercules" », Le Fana de l'Aviation, no 513, , p. 28-37 (ISSN 0757-4169)
  23. Yann Cochennec, « 6 Bombardier Dash 8 de plus pour la Sécurité Civile ? », sur Air et Cosmos, (consulté le ).
  24. « La DGA livre le premier avion multi-rôle bombardier d’eau et de transport (MRBET) à la sécurité civile », sur Direction générale de l'armement, (consulté le )
  25. « F-ZBMK », sur FlightRadar24 (consulté le )
  26. Frédéric Marsaly, « Un sixième Dash 8 pour la Sécurité Civile » , sur Aerobuzz, (consulté le )
  27. (en) « Sécurité Civile F-ZBML », sur AirFleets (consulté le )
  28. Direction générale de l’armement, Ministère des Armées, « La DGA réceptionne le 5e avion multirôle bombardier d’eau et de transport (MRBET) », sur www.defense.gouv.fr (consulté le )
  29. Nouveau crash d'avion anti-incendies - Forum-Pompier.com, 4 septembre 2005
  30. (en) Report A-052/2005 - Civil Aviation Accident and Incident Investigation Commission (CIAIAC) [PDF]
  31. Richard Duclos, « Crash d’un bombardier d’eau à Générac : ce que l’on sait sur l’accident et le pilote. », sur france3occitanie, (consulté le )

Voir aussi


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Bibliographie



Articles connexes



Liens externes





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